SECFGAFP

Ce site est dédié au personnel scolaire qui offre directement ou indirectement des services de soutien à l'élève, jeune et adulte.

Responsable du projet

 

Karine Jacques

430, boul. Arthur-Sauvé
Saint-Eustache (Québec)
J7R 6V6
 
SEC@CarrefourFGAFP.ca


Soumettre une ressource

 

Vous avez une ressource à nous suggérer? Merci de nous aider à promouvoir la concertation et à initier une démarche dynamique de partage de ressources et d'échange de pratiques et d'expertise entre les différentes ressources enseignantes et professionnelles des centres.

SEC@CarrefourFGAFP.ca

 
 
Dyslexie et dysorthographie – Interventions
2847
post-template-default,single,single-post,postid-2847,single-format-link,stockholm-core-1.2.2,select-theme-ver-5.3,ajax_fade,page_not_loaded,side_area_slide_with_content,wpb-js-composer js-comp-ver-7.0,vc_responsive
Title Image

Dyslexie et dysorthographie – Interventions

Dyslexie et dysorthographie – Interventions

Dossier coordonné par Brigitte Stanké, Université de Montréal et Alain Desrochers, Université d’Ottawa

Le terme dyslexie a été utilisé pour la première fois en 1872 par le physicien Rudolf Berlin afin de décrire le cas d’un adulte ayant perdu la capacité de lire à la suite d’une lésion cérébrale. Un peu plus tard, dans un article publié dans The British Medical Journal en 1896, Pringle Morgan, médecin généraliste, a décrit le cas d’un adolescent de 14 ans présentant une difficulté d’apprentissage du langage écrit, et ce, bien qu’il présente une intelligence dans les normes. Cet article marque le début de la recherche sur la dyslexie développementale, appelée à cette époque congenital word blindness, soit la « cécité congénitale des mots ». Depuis plus d’un siècle, le terme dyslexie est utilisé pour décrire les difficultés d’apprentissage de la lecture et de l’orthographe de certains enfants et, déjà à l’époque, il est question non pas d’une, mais bien de plusieurs formes de dyslexie.

Lire l'article sur le site https://institutta.com/
Tags: